
Je m'appelle Charcuterie et j'ai fermé mes portes. Mes nuits sont calmes. Et froides. Mes journées sont comme les nuits. La lumière ne rentre plus. Seuls quelques clochards saouls et quelques mouches folles viennent cogner à mes vitres. Les pas des passants rythment mes heures perdues. J'attends. Je rêve de devenir boulangerie. Ou lingerie fine ! Je m'appelle Charcuterie et j'ai fermé mes portes...
1 commentaire:
comme c'est triste
Marie
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