mardi 11 septembre 2007

Galères


D'abord, il y a le hasard, et tous les courants qui mettent les barques en parallèles, les font se croiser, se heurter, se retourner, tanguer jusqu'à ce que pleurs s'en suivent. Et puis tout en dessous, il y a les flots immuables qui scintillent et se tordent de rire devant la mascarade pitoyable des rameurs...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

la lumiere qui ressort de l'eau, est magnifique